J'aime visiter les stands le premier et le dernier jour.
Le premier : parce que, pour les exposants, tout est possible.
Les deux dernières heures parce que certains sont apaisés et ont du temps à consacrer aux bavards et aux curieux.
Stand d'Henri Renard.
Des musiciens jouent devant le stand et H.R. participe. C'est vivant et joyeux.
Les vielles de structure plus conventionnelles fonctionnent bien et leur diapason plus long permet de jouer dans des tonalités différentes.
Mais toujours aussi la vielle "tout électrique" avec les sautereaux "façon Renard".
Stand de Dominique Engles.
La vielle alto souvent mise à l'honneur par un adepte de la lutherie particulière à D.E.
Apparue il y a quelques années elle semble avoir trouvé son public.
D.E. choisit soigneusement les bois de ses tables d'harmonie. Leur qualité continue à m'impressionner.
Stand de Philippe Mousnier.
P.M. parle maintenant volontiers avec le visiteur curieux.
La nouvelle vielle d'étude - avec un clavier façon Mousnier - fonctionne bien.
Plus tard un feu d'artifice tiré par un adepte de l'électronique.
On aime ou pas, mais cela fonctionne bien.
Stand de Bernard Kerboeuf.
B.K. toujours aussi cordial.
Me propose d'aller écouter un concert à Argenton où il joue de la bombarde accompagné par un orgue.
Stand de Jean-Paul Dinota.
J.P.D. a beaucoup expérimenté, toujours à la recherche de solutions techniques qui "rendraient service" au musicien. Le chien "à capteur électronique" m'avait beaucoup impressionné il y a quelques années.
Les sautereaux avec double système de réglage sont très impressionnants aussi.
S'imaginer que l'on va pouvoir jouer sur une vielle "juste"...
De quoi fâcher les détracteurs de la vielle à roue.
Claude-Emmanuel Boudet.
C.E.B. parle volontiers de choses qui m'intéressent : le choix des bois de lutherie, les organes des la vielle.
Un moment très agréable.