Je crois que je n'aime pas l'impasse, et je me souviens même avoir eu une réaction grimaçante quand j'ai entendu les première notes, après avoir sauté dans les bras de mon cavalier. Non pas qu'elle soit désagréable à écouter, mais je l'ai entendu trop souvent. Bon, je dois admettre que cette fois là, elle a été particulierement appréciée par mes oreilles, mes pieds, et p't'être bien aussi mon corps tout entier (et finalement, allez, je l'aime bien, quand même...)
J'en ai la larme au bord du coeur de revoir ce fragment de festival 2008, pour le bonheur de reconnaitre au premier plan, ou bien tout au fond dans la pénombre, quelques visages connus (ou même quelques corps, puisque durant la mazurka il n'est pas rare que les tête soient enfouies dans les cous). Pour le bonheur de se dire, aussi stupide (oui, Gilles, je mon vocabulaire ne varie toujours pas) que cela puisse paraitre, que les notes qu'on entend là, tout seul devant son écran, et ben c'est exactement celles dont on a pu se régaler à un moment bien précis, celui qu'on oubliera pas de si tôt!
Il est près de 7heures, j'ai les yeux qui se ferment tout seuls, mais c'est vraiment pas le moment, il faut tenir encore un peu pour profiter de tout (tout). Aaaaaaaaaaaaaah, revenez tous, là! Elle est bien vide la salle des fêtes.
Merci Matthieu qui ne lira probablement jamais ce mot d'avoir capturé ce passage dans ton engin. "Arrête toi instant, tu es si beau".

Message ajouté après : 5 minutes:
J'allais oublier!
C'est pas très gentil, mais... Bah alors, t'es perdu ma belle?
(soit heureuse, j'aurais pu être vulgaire!
