Un déficit est plus facile à combler qu'une prévision de déficit, mais je ne dis pas que c'est évident.qui paie le déficit dans ce cas ?
Apparemment, la presse est avec vous...
Le pays aussi, peut-être... ce qu'on m'a dit à Buxy, c'est que Saint-Gengoux était le dernier lieu (du canton ?) à continuer d'accueillir des bals (musette), parce qu'ailleurs, telle salle était trop proche de la maison de retraite, tel public était trop... turbulent.
Vous pouvez aussi peut-être mener une enquête pour estimer l'impact économique dans les gîtes et hôtels voisins, parce que vos 4000 € cela fait 60 locations au F1, sans petit-dèj. Je peux vous assurer que le relais de Buxy a au moins bénéficié de 5% de votre déficit (mais c'est peut-être 10%).
N'oubliez pas, si vous êtes critiqués au moment de la négociation d'une subvention, pour mauvaise gestion ou mauvais prévisionnel, de sortir l'argument choc... je ne me rappelle plus le terme technique... une sorte d'avance sur investissement, c'est quand une entreprise choisit délibérément de se mettre en déficit pour se faire connaître, lancer un produit prometteur, atteindre une masse critique... Assumer le déficit, le justifier au vu des résultats, prendre des mesures correctives, mais expliquer que si on rogne trop (pour obtenir un budget équilibré), c'est le concept qui est en péril.
Personnellement, on m'a même tenu la leçon suivante: Tarif d'entrée = (Déficit prévisionnel hors entrées) / nombre prévisionnel d'entrée, et que ne pas l'avoir appliquée était irresponsable. C'est tellement simple, l'économie niveau école primaire !