Danser de 7 à 77 ans (sans exclure les plus jeunes et les plus vieux bien sûr) :
Voilà il est venu le temps de l’automne, l’air ce rafraichit le temps passé sous la couette s’allonge et on a du coup du temps supplémentaire pour procréer, puis il-elle nait, nous sommes fier d’être parents, de l’emmener en bal, et de la-le voir courir entre les jambes de tout le monde, puis vous vieillissez avec cet-te enfant, il-elle grandit et un jour devient adulte. Et vous là dedans prenez vos cheveux blanc, commandez chez Vert Baudet, votre envie de danser est plus grande que votre déambulateur, certes, vous continuez à arpenter les parquets mais la fatigue vous rattrape plus vite que votre mari. Normal on devient vieux et on va disparaitre.
Je vais donc aborder ici les extrémités de bal, les très jeunes et les très vieux, comment les intégrer, je pourrais conclure ce sujet de suite en disant :
- Les très jeunes au lit avant 21h.
- Les très vieux laissons dans leur maison de retraite.
Mais je ne voudrais pas paraitre odieux envers ces communautés et donc je vais tenter à ma façon et selon ma vision de donner des clés pour comprendre ce genre de population en bal, les plus jeunes car j’ai finalement envie d’en faire, et les plus vieux car fatalement je vais le devenir et que si les génération future lisent ce post me traitent convenablement du coup je leur legs mes conseils dans ce post.
Les jeunes et les vieux sont des extrémités pas si rare en bal mais qui ne se traitent pas de la même manière donc je vais décliner en deux partie ce code la route de bal, celui qui cause des vieux, priorité à eux comme quand on laisse la place dans les bus, et le plus jeunes pour la fin car ils se doivent d’apprendre la patience assez vite, avec leur jeunes années ils vont devoir apprendre à prendre le temps de faire les choses.
Je pense que pour une fois je vais parler d’une règle implicite dont je n’ai pas encore réussis à cerner tous les tenants et aboutissant. Du coup je vais parler surtout de mon expérience et mes observations, vous laissant le soin de débattre et surement m’apporter un autre regard sur le sujet.
Nos chers ainés de bal, ceux qui ont préféré délaisser les bals musette pour mieux animer nos bals, ils sont pour dire très fidèle, plus que les autres populations de bal, ils sont de mon avis plus ouverts et plus attentifs que les autres.
Ils ont une carte d’atout que nous ne pouvons jouer, les cheveux blancs et rides les rendent aussi attendrissant qu’un bébé dans une poussette, ils peuvent jouer les gâteux tout en étant encore très vif d’esprit et du coup avoir plus facilement des places assises de choix ou de jeunes hommes-filles qui sous leurs chaleureux sourires entrainé depuis quelques décennies, ont le secret de savoir le placer au bon moment, ou encore de baisser la sensibilité du sonotone quand ils vont dans des festivals avec le son trop fort.
on leur pardonne tout, ils sont doux, touchant, ils peuvent enfreindre toutes les règles que j’eus dites auparavant on leur pardonnera toujours, il me tarde de découvrir ce temps de la vieillesse, elle sera dure certes avec ses tracas du quotidien, la mécanique du corps qui ne suit plus forcément, voir ses pairs partir un à un, mais qu’il me sera doux de me voir encore danser avec de jeunes peau blanches, lisses et me souvenir du temps ma jeunesse, de ces beaux jours m’en rappeler toujours (comme dit Gravenoire dans un de ces CD).
Considérez ces gens, prenez, vous aussi, le temps d’aller vers eux, les inviter, leur offrir un sourire, les écouter et se nourrir de leurs expériences. Si j’ai parlé là des gentils, il existe aussi une catégorie dont j’aimerais faire une parenthèse "les pépères et mémères pervers-es" je n’ose pas trop en dire car cette catégorie me fais réellement peur.
Si maintenant on changeait de sujet comme de couches culottes pour justement parler de nos charmants ovules fécondés par la dure course sélective menant à la vie sur terre.
Contrairement à ceux dont je parlais au-dessus, les enfants n’ont pas la même liberté accordée par la vie que d’aller en bal ou non, leurs libertés s’arrêtent là où commence celle que leurs parents veulent bien leur donner. Surement en avez-vous déjà rencontré qui vous court dans les pattes, qui hurle zigzag, pleurent pour arrêter la danse que vous avez commencé avec leur papa ou maman ? Peut-être aussi en avez-vous vu qui cherchent à danser et que vous vous retrouver lors d’un mixer avec quelqu’un plus petit d’un mètre par rapport à vous ?
J’adore les mômes et danser avec eux, ils ne se posent pas de questions, ils suivent et test essaye se trompent mais essayent encore, ils sont ouvert, nous rendent sensible car on les sait plus fragile, plus compliqué à captiver. Les enfants bah oui ça court partout ça dort dans les coins ça pique les manteaux pour faire des cabanes dans les chaises, ça peut disparaitre si on ne fait pas attention à eux, mais au moins sa à le mérite de boire aux seins de leur maman (et de reluquer), ou de l’eau et du jus de fruit, ça à le mérite de temps en temps soulever la jupe ou robe des grandes personnes, ça a aussi le mérite de poser des questions innocente et embarrassante pour les adultes, ça aussi le mérite de devenir les futur petits vieux de bals.
Considérez ces gens aussi, prenez, vous aussi, le temps d’aller vers eux, les inviter, leur sourire, les écouter et se nourrir de leurs inexpériences. Si j’ai parlé là des gentils, il existe aussi une catégorie dont j’aimerais faire une parenthèse "les enfants chucky (la poupée du diable)" mais là aussi je n’ose pas trop en dire car cette catégorie-là, aussi, me fais réellement peur.
Je ferais l’impasse (tadadada da da) sur les anecdotes car je n’en ai pas spécialement une qui me reviens en tête à part sur les pépères pervers et les enfants chucky, mais j’ai vraiment trop peur, juste signalé, que j’ai déjà eu le bonheur de travailler la danse traditionnelle avec un jeune public et c’était un vrai bonheur de voir autant le bordel qu’ils pouvaient faire mais la joie qu’il pouvaient aussi fournir dans leur énergie à danser, tout comme avoir bosser avec des anciens qui je cite « nous ne voulons pas danser nous faisons de la gym ici » et sous prétexte de leur placer un cours de « rythmique » ce sont pris au jeu, et m’ont demandé quand même de rallonger la première séance pour apprendre encore une dernière danse et au final faire une année de cours autour des différentes danses traditionnelle en alternance avec le cours de gym traditionnel (lui aussi).
Voilà merci de m’avoir lu pour ce Code de la route un peu spécial dédié à Josette notre ainée préférée (à tous ceux qui l’ont rencontré car elle touchante à souhait) et à ces parents qui au long de cet été m’ont coincé dans des rendez-vous « bébé » de festival et qui malgré ces litres de baves m’ont convaincu que se reproduire (à petite échelle pour éviter la surpopulation quand même).
A bientôt et hésitez pas à réagir.
Lanost