Je suis plus partisan d'utiliser un include.
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La ligne main droite, je vois pas bien ce que tu veux dire par désynchronisation. Ha si, tu veux dire que les notes qui n'ont pas de coup de poignée seraient écrites différemment ? Mais puisqu'elles sont écrites en clair au-dessus... Y'm faut un dessin...
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Donc comme dit plus haut, il faut une liste de signes d'interprétation du genre : up=\markup{"↥"}. Au boulot !
Je dirais que pour commencer si tu pouvais me faire passer une partition ly représentative de ce qu'on pourrait avoir envie de noter (donc avec des doigtés) et signes des coups de poignée. Cherche pas trop loin le bon symbole, 1 2 3 4 ... ça suffira bien pour commencer.
Include : rationnel.
On change une définition et elle est appliquée à toutes les compilations qui suivent.
Désynchronisation : tu sembles avoir deviné. Mais un exemple sera plus causant (à venir).
J'ai fait un petit dessin SVG (avec Inkscape) et l'ai exporté en png.
Il est là :
http://lerautal.laut...le/coups_vc.png
A gauche : les images de flêches retenues (il n'y a pas tout) telles que définies par V.C.
A droite une représentation de la roue.
C4 = coup de 4 (et accessoirement vers le coup de 8) = le tour de roue est partagé en 4 parties égales (ou 8).
1 désigne le premier "coup". De façon conventionnelle il démarre poignée en haut, le mouvement allant vers le bas (mais en fait, dynamiquement, en avant : on ne coupe pas le cercle !!! on le tangente).
2 = coup émis au début du second quart de tour. J'ai ajouté la mention "ou 3" pour signifier que si on partage la roue en 8 parties égales (coup de 8) cette position correspond au début du 3ème huitième de tour.
Idem pour les suivants sur ce cercle.
A l'extérieur du cercle : la représentation symbolique des coups à la façon de V.C.
Il faut ici retrouver des caractères Unicodes graphiques qui ressemblent (ou modifier une police qu'il faudra pouvoir inclure dans les pdf). De toutes façons, il s'agit d'une convention et les signes retenus devront être expliqués dans une page annexe téléchargeable avec les partitions.
Cercle en bas à gauche :
C3 = coup de 3 : le tour de roue est partagé en 3 parties égales.
La numérotation est double = coup de 3 et coup de 6.
Cercle en bas à droite :
Les positions complémentaires du précédent pour obtenir le coup de 6.
J'aurais pu superposer les deux derniers cercles pour obtenir une étoile de shérif mais j'aime mieux ainsi : les caractères graphiques sont moins serrés.
Ce schéma te déroutera peut-être, mais un praticien de la vielle un peu expérimenté devrait s'y retrouver.
Dans la réalité, les coups de 8 ne seront pas notés sur les partitions de "vraie musique" : si on en est capable, on le travaille à part et on le glisse à l'occasion comme une fioriture là où on a caprice de le placer.
Par contre les divisions en demi, tiers, quart, sixième doivent pouvoir pouvoir être codées.
Ceci étant, il faut être lucide : ce dont nous débattons ici, c'est de la possibilité de réaliser des partitions qui incluent un tel codage, de façon à expérimenter le travail musical et technique qui en découle.
Je n'affirme pas que ce travail soit nécessaire à une bonne pratique de l'instrument.
Tout le monde ne devient pas non plus V.C...
Mais, pour bien travailler, il est utile de se doter d'outils... et de réfléchir à leur utilité, leur pertinence, leur adaptation à la situation musicale présente.
Après... on ressent, ou pas. La musique est un art expérimental.
Modifié par badaboum, 22 mai 2015 - 22:08.