Merci, Stéphano.
(mais je pencherais plus pour 20 heures que pour 20 ans d'écoute, ou bien pour une analyse comparée de partitions (de 20 heures?))Contrairement à ce que l'on comprend à sa (re)lecture, ma question sur les origines d'Ivoirine se voulant l'écho de celle de PY, je m'intéressais en fait plus à: comment, une fois un air en tête, on en vient à l'appeler gavotte de l'Aven. Je pensais qu'il fallait chercher dans les sources d'inspiration, dans les références musicales, les écoutes préalables.
après les choses ne t'appartiennent plus…
Et c'est peut-être là qu'est le début de la réponse ? (que je n'attends pas car je ne veux plus être indiscret!).
Au moins, les circonstances de la création expliquent-elles le caractère mélancolique (selon moi) de l'oeuvre.
une autre, traditionnelle je crois, qui se trouve sur le premier album de Frères de Sac...
Je me permets de confirmer. Mais je la trouve à peine "caresse" au niveau tempo. Celle-ci est-elle antérieure à Ivoirine ? On avance sur la trace de la genèse de la gavotte-caresse: serait-elle née dans une communauté de l'est de la France ? Et pourquoi spécialement la première partie de la gavotte de l'Aven ? Des musiciens l'ont-elle proposée ? Des danseurs l'ont-elle demandée ?
Camille, en ré-écoutant dans l'ordre les Frères de Sac, DJAL, puis ta Berceuse pour un Loulou, je constate que le métronome passe sous les 100 dans le laps de temps.
(ou pas ! j'ai un doute car je l'ai laissé trop longtemps remonté) C'est ce à quoi je pensais lorsque je parlais de "problème" avec Ivoirine. Je ne devrais pas me plaindre, car dans le même laps de temps, je crois qu'on a également vu naître la mazurka-chamallow...
Enfin, si, je me plaindrai lorsque toutes les compositions nouvelles pour danser la mazurka seront exclusivement de ce type. Parce qu'on est d'accord, il en faut des compositions nouvelles.
Au fait, il y a aussi une gavotte de l'Aven sur le disque des Drôles de Grôles.