J’aime bien. Encore et toujours.
Et j’aime bien le petit dialogue du milieu aussi ! Au-delà de la caricature (Robert Monédière revenant de Paris en chapeau melon . . . pas très vraisemblable en 1951) on trouve évoqué ici, une fois de plus, le rejet par les Parisiens immigrés de plus ou moins fraîche date à Paris (là, Monédière n’y serait que depuis 6 mois et il ne sait déjà plus parler « patois » !) de leur culture d’origine. Cette attitude, j’en ai eu personnellement des témoignages de la part de « bourréieurs » de tradition en « Montagne limousine » : quand les accordéonistes, une décennie plus tard, dans les années 60, commençaient une bourrée pendant les bals de l’été, les "Parisiens" revenus au pays en vacances leur demandaient d’arrêter. Les autochtones devaient attendre qu’ils soient partis pour s’y remettre, mais le cœur n’y était plus forcément de la même façon.
Quant au tempo, ben oui, c’est rapide. Normal. C’est qu’on est en Corrèze, pas en Auvergne !
Les Auvergnats, c’est que des mollassons, tra la la . . .