- les différentes solutions pour les ouies et les rosaces: emplacement, formes, dimensions. Pour un violon, leur rôle est de faciliter la déformation de la table et sa réponse aux médiums, mais joue t-on dans la même court ?
Je n'ai pas de réponse sur "es ouies et les rosaces: emplacement, formes, dimensions".
Ceci étant j'ai fait l'impasse depuis longtemps là-dessus.
Pour ce qui est de la comparaison avec le violon, j'ai une réponse partielle.
La table d'harmonie du violon n'est percée que par les deux petites ouvertures en forme de "S".
La table de la vielle est également ornée des deux petites ouvertures en forme de "S". Mais elle est traversée en plus d'une large coupure transversalle (coupant le fil du bois) : la place de la roue.
Le seul moyen de savoir serait de réaliser une vielle à roue sans roue. Mais cela ne sera pas facile. J'ai imaginé un truc sous la forne d'un truc en forme d'anneau entraîné et stabilisé par des galets ou des roues crantées. Mais les bruits de transmission risquent de poser problème.
Ou alors transformer la roue en courroie, elle aussi contrôlée par des galets et gorges...
Si la vie humaine était plus longue...
Je me suis interrogé un temps sur la différence entre les roues échancrées, telles que celles de Philippe Mousnier, par opposition aux roues pleines usuelles.
Laquelle est supérieure ?
On peut-être tenté de dire que la roue échancrée permet mieux "au son" de circuler dans la caisse. On peut aussi penser que le cloisonnement partiel introduit pas la présence de la roue dans la caisse contribue à faire vivre le son de la vielle.