on est dans un topic sur la vielle non, c'est ça ?...De cela dérive le fait que le bruit est perçu comme une des choses les plus insupportables de la vie moderne.

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Posté 28 mars 2013 - 13:43
on est dans un topic sur la vielle non, c'est ça ?...De cela dérive le fait que le bruit est perçu comme une des choses les plus insupportables de la vie moderne.
Posté 28 mars 2013 - 18:50
Posté 28 mars 2013 - 21:00
à Laclaire : l'indication de mesure est BIEN une fraction : 6/8 , c'est 6 huitième de la durée d'une ronde; 3/4, c'est trois quarts de la durée d'une ronde . Tes explications qui suivent sont exactes.
Posté 28 mars 2013 - 21:13
Posté 28 mars 2013 - 22:19
Posté 28 mars 2013 - 22:57
Posté 28 mars 2013 - 23:41
Posté 29 mars 2013 - 00:53
Modifié par Rodrigue, 29 mars 2013 - 00:55.
Posté 29 mars 2013 - 08:27
Le cas du solfège et de l'écriture, c'est vraiment un marronnier de tradzone. Pour éviter de me répéter, je vais tâcher d'utiliser un parallèle avec le théâtre.
Pour chaque pièce, on a un texte littéraire à la base. Mais qui a jamais prétendu que ce texte aurait le pouvoir d'exonérer le metteur en scène et les acteurs de leur travail d'interprétation?... Il existe 50 000 manières de dire "Rodrigue, as-tu du coeur?" et pourtant la phrase écrite est la même. Mais personne n'aurait l'idée de remettre en question le bien fondé de l'écriture. Autre exemple, on pourrait tout à fait monter une pièce pourrie à partir du plus beau texte. Mais qui viendrait remettre en question le fait que les hommes savent écrire?...lol... En fait vous évoquez un problème imaginaire car vous placez le solfège et l'écriture à un endroit qui n'est pas le bon. Le solfège, c'est le solfège et la musique, c'est la musique, point! Le solfège, ce n'est pas de l'art (ça je l'ai déjà dit).
Et quelqu'un disposant d'une bonne mémoire et ne sachant pas lire pourrait très bien être un formidable acteur, personne ne dit le contraire. Mais ça peut compliquer l'organisation du travail et les répétitions, c'est tout.
Sortons du théâtre et revenons à la musique. Il y avait une émission sur France musique (peut-être existe-t-elle toujours) où les protagonistes, musiciens, chefs, journalistes spécialisés, écoutaient plusieurs versions d'une même oeuvre et chacun donnait son point de vue. On pouvait alors mesurer les différences énormes d'interprétation malgré une écriture particulièrement savante et complexe étant donné qu'il s'agissait de musique classique. Mais là aussi, personne n'aurait eu l'idée de remettre en question l'écriture.
Le travail artistique est dissocié de l'écriture, capito?...
Chers novices en solfège, apprenez-le et comme ça vous en attendrez ce qu'il est censé vous apporter en tant qu'outil, ni plus ni moins, vous le démystifierez et cesserez d'entretenir un rapport de défiance ou de diabolisation comme si vous étiez en présence de magie noire.
Pour en revenir au clampin (un classiqueux à lunettes par exemple) qui joue une bourrée comme un manche avec sa partition sous le nez, ce n'est pas à cause de ce pauvre bout de papier présent, mais à cause de tout ce qui n'est pas là justement, la formation, la culture, les sources. Il ne faudrait pas que le solfège vienne masquer les carences et les vraies questions dans la formation d'un individu, ce serait trop facile et simpliste et ça n'a pas vraiment de sens.
Posté 29 mars 2013 - 08:29
Posté 29 mars 2013 - 08:39
Posté 29 mars 2013 - 09:44
Pour en revenir au clampin (un classiqueux à lunettes par exemple) qui joue une bourrée comme un manche avec sa partition sous le nez, ce n'est pas à cause de ce pauvre bout de papier présent, mais à cause de tout ce qui n'est pas là justement, la formation, la culture, les sources. Il ne faudrait pas que le solfège vienne masquer les carences et les vraies questions dans la formation d'un individu, ce serait trop facile et simpliste et ça n'a pas vraiment de sens.
Posté 29 mars 2013 - 11:37
Posté 29 mars 2013 - 20:34
Monsieur Jourdain
Et comme l’on parle, qu’est-ce que c’est donc que cela ?Le Maître de philosophie
De la prose.Monsieur Jourdain
Quoi ! quand je dis : « Nicole, apportez-moi mes pantoufles, et me donnez mon bonnet de nuit », c’est de la prose ?Le Maître de philosophie
Oui, monsieurMonsieur Jourdain
Par ma foi, il y a plus de quarante ans que je dis de la prose sans que j’en susse rien, et je vous suis le plus obligé du monde de m’avoir appris cela.Posté 30 mars 2013 - 20:21
Posté 02 avril 2013 - 17:03
Ceci dit, si on parle bien de musiques traditionnelles donc populaires (même si le gros du peuple est momentanément frappé d'amnésie), on parle d'une musique qu'il devrait être normal de jouer entre voisins sans préallable comme ça : t'es là, j'suis là, tu fais quoi ? Et allez, on joue !...
Tu tiens ça d'où?
Un peu romantique comme vision non?
Modifié par Chamczyk, 02 avril 2013 - 17:07.
Posté 03 avril 2013 - 17:42
Modifié par Calmar, 03 avril 2013 - 17:42.
Posté 03 avril 2013 - 22:06
Modifié par Chamczyk, 03 avril 2013 - 22:07.
Posté 04 avril 2013 - 10:16
Posté 04 avril 2013 - 13:15