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Posté 25 janv. 2011 - 21:18
Posté 25 janv. 2011 - 22:15
Posté 25 janv. 2011 - 23:57
Posté 26 janv. 2011 - 00:03
Posté 26 janv. 2011 - 00:04
Pour moi qui suis à Toulouse depuis un moment, les bourrées d'ariège me laisse perplexe... D'où viennent-elles ? reminiscence d'une aire de bourrée qui s'étendait d'Orléans ou Pyrénées ? et d'ailleurs est-ce vraiment des bourrées ?Pour revenir à la liste / carte de Tirno.
Il me semble manquer les bourrées Ariégeoises, les sauts béarnais, la farandole (provence, pays nissart et une bonne partie du languedoc), les courantes (Sud est : var, pays nissart, pays gavot, influences piémontaises en fait), le rigodon également est depuis assez longtemps dans les Cévennes et toujours bien dansés aujourd'hui.
Posté 26 janv. 2011 - 00:22
Posté 26 janv. 2011 - 10:04
Posté 27 janv. 2011 - 13:23
Posté 27 janv. 2011 - 20:47
Posté 29 janv. 2011 - 00:37
Posté 29 janv. 2011 - 05:27
Posté 29 janv. 2011 - 15:08
Posté 29 janv. 2011 - 16:28
Posté 29 janv. 2011 - 17:08
D'après JM Guilcher :
- Dans le Haut-Berry (Cher) : bourrées 3T prédominent.
- Dans le Bas-Berry (Indre) : bourrées 2T prédominent.
A priori les 2T en Berry sont un emprunt au Bourbonnais ; elles n'existaient pas début XIXe siècle en Bas-Berry (il y avait des ronds, comme le rond d'Argenton-sur-Creuse, mais pas de bourrées). Implantation des bourrées progressivement au cours du XIXe siècle d'après les propos recueillis par les enquêteurs fin XIX.
Source : "Danse traditionnelle et anciens milieux ruraux français", Jean-Michel Guilcher (2009)
Posté 30 janv. 2011 - 22:55
Posté 31 janv. 2011 - 00:49
Posté 31 janv. 2011 - 09:24
Posté 08 févr. 2011 - 02:28
Pour moi qui suis à Toulouse depuis un moment, les bourrées d'ariège me laisse perplexe... D'où viennent-elles ? reminiscence d'une aire de bourrée qui s'étendait d'Orléans ou Pyrénées ? et d'ailleurs est-ce vraiment des bourrées ?
Autre question un peu provoc' mais je pense non dénué d'intéret : les farandoles sont-elles vraiment une danse ? Ou alors "juste" une tradition populaire ?
Posté 09 févr. 2011 - 13:29
En 1876 Gallas, professeur de danse, canne, bâton et boxe française vraisemblablement formé à l’armée, crée à Arles la première Farandole chorégraphiée en utilisant des pas de danses de caractères. L’exemple de sa Société, Les Enfants d’Arles, fait tache d’huile et la fin du siècle voit la création de nombreuses Sociétés de Farandole dans des villes et villages gardois (Pouzilhac, Villeneuve-lès-Avignon, Aramon, Laudun, Bessèges, Bouillarges). À la même époque de nouvelles Sociétés sont déclarées à la préfecture (Nîmes, Sauzet, St Geniès de Malgoirès, Générac, Langlade, Alès, La Grand Combe).
Ces Sociétés se retrouvent à deux occasions :
- Les Concours de Farandoles lors des Fêtes votives. Ces concours se localisent dans les arrondissements d’Uzès et d’Alès, ainsi que dans la zone nord-est de l’arrondissement de Nîmes. Chaque Société tente alors de surpasser les autres en créativité et en virtuosité.
- Les Assauts de Danse où les meilleurs élèves passent leurs brevets de danse.
Toutes ces manifestations sont accompagnées exclusivement par les Musiques Municipales, orchestres de cuivres.
La fête du cinquantenaire de Mireille à Arles en 1909 voit la consécration de la Farandole savante comme “provençale”, mais c’est au prix de la perte d’indépendance des farandoleurs du Gard à qui l’on impose, contre leur gré, le galoubet et le tambourin.
Dès lors les Sociétés de Farandole vont peu à peu devenir des groupes folkloriques, tandis que le répertoire des danses de caractères va s’appauvrir avec la disparition des danses dont le titre ne fait pas assez “provençal” ou la transformation de celui-ci : ainsi l’Anglaise devient la Gigue.
Posté 17 mars 2011 - 10:10
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