Infos
En cas de problème avec le mail de validation lors de l'inscription, vous pouvez nous contacter via le formulaire de contact

"La Marque Rouge" : le premier album du Quintet à Claques !
#261 + Partager
Posté 03 nov. 2009 - 12:44
PS : on l'a enregistré saperlipopette, et finalement on a décidé de pas le mettre parce qu'on le trouvait pas assez bien joué. Pis faut bien garder quelques morceaux pour faire un 2e disque clinquant aux arrangements qui peinent !
#262 + Partager
Posté 03 nov. 2009 - 13:17

#263 + Partager
Posté 03 nov. 2009 - 13:37
Et pourtant non, je m'accroche, car je l'aime cette musique, mais c'est comme un mauvais amant, c'est difficile..

Alors là j'ai envi de faire la critique de la critique et de dire :
"Coup un peu bas, mais que fait l'arbitre ?"
Le trad un mauvais amant...
Mais quel mouvement en fait autant ?
Peut-être faudrait-il qu'il fasse mieux,
Qu'il soit plaisant et agréable aux yeux,
Qu'il caresse plus doucement et dans le sens du poil,
Mielleux et rassurant comme un poele en hiver,
Peut-être certaines le préfèrent-elles un peu plus violent
Pour prendre leur pied aiment-elles un trad méchant
Il y a des bons et de mauvais amants certes,
Mais où sont les sentiments bordel?

#264 + Partager
Posté 03 nov. 2009 - 19:48
Oyez oyez peuple de Tradzonie !
La chronique de notre album est arrivée dans Trad Magazine !
Vous souhaitant une bonne lecture et beaucoup de salsa,
Voici la chronique version texte :Pour ceux qui n’ont pas suivi les dernières modes sémantiques, « néo-trad » ça veut juste dire qu’une scottish vous donne envie de danser la salsa. Bref, ces jeunes musiciens sont bourrés de talent. Et nul doute qu’ils peuvent s’en servir mieux que ça.
Mathieu Rosati
"Nous, quand on voit un ou plusieurs types reproduire ce qu'un ou plusieurs autres ont fait, bien mieux qu'eux, voici vingt ans, ça ne nous intéresse pas. Un écrivain qui écrirait de nos jours comme Balzac, n'aurait non plus le moindre intérêt. C'est un faussaire. […] Ces musiciens qui persévèrent dans le style […] que ses créateurs illustrèrent si bien ne le font que parce que ça se vend, grâce à de bonnes andouilles […] qui sont un peu demeurés et dont l'horizon musical est si limité qu'il ne dépasse pas celui du public de Chemisier Rose et Pompier Blanc."
Ça date d'avril 1953, c'est à propos du jazz, c'est écrit par Boris Vian. Il précise plus loin que Chemisier Rose et Pompier Blanc est une chanson populaire charmante.
#265 + Partager
Posté 03 nov. 2009 - 19:54
énorme ton message!
........................................................
en dehors de ça, je me rends compte, que beaucoup de personnes hésitent à envoyer leurs cds à trad mag.
c'est nouveau? de longue date? je sais pas....
ils hésitent, non pas pour les critiques ou les encouragements
mais plutot pour la qualité des chroniques qui n'est pas toujours à la hauteur du CD qui se trouve sous leurs mains ,
comme le bravo TM ou les TTT qui pour moi ne correspondent pas à grand chose au final....
bref un autre débat dans le débat!!!
.........................................................
mais il est bien ce CD!
#266 + Partager
Posté 03 nov. 2009 - 20:30
"Nous, quand on voit un ou plusieurs types reproduire ce qu'un ou plusieurs autres ont fait, bien mieux qu'eux, voici vingt ans, ça ne nous intéresse pas. Un écrivain qui écrirait de nos jours comme Balzac, n'aurait non plus le moindre intérêt. C'est un faussaire. […] Ces musiciens qui persévèrent dans le style […] que ses créateurs illustrèrent si bien ne le font que parce que ça se vend, grâce à de bonnes andouilles […] qui sont un peu demeurés et dont l'horizon musical est si limité qu'il ne dépasse pas celui du public de Chemisier Rose et Pompier Blanc."
Ça date d'avril 1953, c'est à propos du jazz, c'est écrit par Boris Vian. Il précise plus loin que Chemisier Rose et Pompier Blanc est une chanson populaire charmante.
J'arrive pas à savoir si tu veux établir le parallèle entre mustradem et le quintet ou bien entre les groupes trad en général qui se pomperaient dessus sans évolués depuis 50 ans ...
Éclaire ma lanterne STP parce que ça change du tout au tout le sens de ce que tu as cité là...
#267 + Partager
Posté 03 nov. 2009 - 21:22
C'est tout moi. Pour preuve, mon précédent message.de bonnes andouilles […] qui sont un peu demeurés et dont l'horizon musical est si limité qu'il ne dépasse pas celui du public de
Camille, je crois qu'il s'agit d'un allié.
Je ne suis pas capable de faire une analyse critique et comparative d'un cd. Ressentir, je peux. Alors oui, la Marque Rouge fait partie de la trentaine d'albums (y compris bretons) à me faire gigotter tout seul (le rondeau, notamment). Cependant, il ne fait PAS partie des deux albums à me faire entrer dans l'état suivant, la béatitude, celle du déjà mort qui frétille encore, agité par des spasmes nerveux (conditions préalables: abuser de crottin crémeux et être dans un état de grande fatigue, comme au retour de ce weekend). Par miséricorde envers les trente groupes, je ne citerai pas de noms, je n'écrirai pas trente critiques. Mais je tiens peut-être l'exemple d'un groupe dont les arrangements ne peinent pas.
C'est tout vu mon grand. Vous avez intérêt à bosser les arrangements cet hiver.j'attends de voir ce qu'il dira pour la sortie du cd de DECIBAL
#268 + Partager
Posté 03 nov. 2009 - 21:25
"Nous, quand on voit un ou plusieurs types reproduire ce qu'un ou plusieurs autres ont fait, bien mieux qu'eux, voici vingt ans, ça ne nous intéresse pas. Un écrivain qui écrirait de nos jours comme Balzac, n'aurait non plus le moindre intérêt. C'est un faussaire. […] Ces musiciens qui persévèrent dans le style […] que ses créateurs illustrèrent si bien ne le font que parce que ça se vend, grâce à de bonnes andouilles […] qui sont un peu demeurés et dont l'horizon musical est si limité qu'il ne dépasse pas celui du public de Chemisier Rose et Pompier Blanc."
Ça date d'avril 1953, c'est à propos du jazz, c'est écrit par Boris Vian. Il précise plus loin que Chemisier Rose et Pompier Blanc est une chanson populaire charmante.
J'arrive pas à savoir si tu veux établir le parallèle entre mustradem et le quintet ou bien entre les groupes trad en général qui se pomperaient dessus sans évolués depuis 50 ans ...
Éclaire ma lanterne STP parce que ça change du tout au tout le sens de ce que tu as cité là...
Ce que je veux dire c'est qu'il y aura toujours des gens pour regretter "le bon temps" et fustiger ceux qui tentent de faire évoluer leur art. Je pense comme Vian que les musiciens qui jouent aujourd'hui du dixieland (pour rester dans son idiome) ne le font que par nostalgie, incompétence créatrice, ou recherche du gain (encore que…). En fait je cherchais un autre texte du trompinetiste (mais je n'ai pas réussi à mettre la main dessus), dans lequel il conseillait de façon très amusante à un critique de consommer tel produit pour lui faire "grossir le cerveau". Bref, j'écoute souvent et avec grand plaisir votre musique, j'essaie de jouer British String mais ce n'est pas facile - d'autant que je ne sais pas danser la salsa ! Et dans mes rêves les plus fous je monte un groupe avec Colin, mais faut pas lui dire ! Allez Camille au boulot, on attend le deuxième CD ;)
#269 + Partager
Posté 03 nov. 2009 - 22:00
#270 + Partager
Posté 03 nov. 2009 - 22:21
#271 + Partager
Posté 03 nov. 2009 - 22:32
En fait je cherchais un autre texte du trompinetiste (mais je n'ai pas réussi à mettre la main dessus), dans lequel il conseillait de façon très amusante à un critique de consommer tel produit pour lui faire "grossir le cerveau".
Probablement quelque part dans les "Chroniques de jazz".
#272 + Partager
Posté 04 nov. 2009 - 00:00
Et ceux (pour passer à un idiome qui nous concerne et qui est donc plus risqués) qui jouent de la cabrette, ayant comme modèles les cabrettaires parisiens d'il y a près de 100 ans, ils le font aussi, au choix, par nostalgie, par incompétence créatrice ou par recherche du gain?
Je ne connais rien à la cabrette, parisienne ou provinciale, du XX ou du XXIe siècle… mais je tenterai quand même une réponse, au risque de me faire bouffer tout cru par un lion. Je risquerais donc comme hypothèse que les néocabrettaires, à l'instar de ces musiciens baroques qui cherchent à s'approcher au mieux de l'interprétation et de l'instrument d'époque, s'efforcent de ressusciter une musique un petit peu oubliée, parce qu'ils la trouvent belle… Peut-être il y a-t-il un peu de nostalgie dans cette démarche, allez leur demander. Mais la nostalgie n'est-elle pas une motivation comme une autre ? Peut-être Tirno pourra-t-il nous éclairer sur la psychologie du cabrettaire ?
Je reposte une citation que j'ai déjà faite à propos de cette critique de l'album de QAC : "Je suis suppose que la question sera posée : pourquoi de nouvelles formes, pourquoi des formes développées ? pourquoi ne pas continuer avec les mêmes conventions et les mêmes formes que nous associons à la tradition […]. Visiblement, une forme d'art qui désire demeurer une expression valable de son époque doit grandir et se développer." Gunther Schuller, compositeur, chef d'orchestre, corniste (etc.) à propos du "jazz". Entre crochet, il y avait "fondamentale du jazz".
Dans une autre critique, Boris Vian déclare, toujours à propos de musique évidemment : "Refuser l'évolution est une position intellectuelle de cadavre."
Il avait le sens des formules. Bonne nuit et bonne musique.
#273 + Partager
Posté 04 nov. 2009 - 07:42
L'instrument cabrette a été portée par un milieu auvergnat avec des critères bien spécifiques : poser les doigts sur l'instrument c'est être attendu au tournant c'est certain... Avec la musette du Centre c'est un peu différent dans la mesure ou l'instrument a été réinventé il y a une trentaine d'années avec l'arrière pensée d'un instrument adapté à des besoins actuels. Je me sens apriori un peu libre dessus, tout simplement parce que les contraintes organologiques ne sont pas les mêmes que sur une cabrette. Après, c'est à chaque musicien de trouver des choses.
Personnellement, avec mon niveau ras les marguerites, à la cabrette, je préfère ne me pas prendre la tête et faire sonner les airs le plus tranquillement possible (sans me soucier d'aller vers telle ou telle références historiques, je maîtrise pas ça). Seule la tierce neutre me tarabuste un peu et est un sujet de méditation sans fin, parce que c'est tout le système harmonique occidental qui vacille et c'est toujours un plaisir de voir les systèmes établis vaciller de temps à autre...
Alors qu'à la musette, j'aime me prendre la tête avec les trucs.
#274 + Partager
Posté 04 nov. 2009 - 07:47
J'ai rien contre l'évolution (enfin... j'en ai déjà parlé sur ce forum, je pense surtout qu'on y peut rien et que l'évolution, comme la nostalgie, c'est plus ce que c'était). Mais
1) se dire dans l'évolution c'est une position un peu arrogante. Qui peut prévoir quels seront les disques fétiches et marquants que les gens écouteront encore dans 20 ans?
2) Je comprends pas comment on peut prétendre faire évoluer quelquechose qu'on ne comprend que fort mal.
Message ajouté après : 2 minutes:
Ok, ne parlons pas de cabrette - disons plutot "de musique auvergnate, ayant comme modèle les musiciens parisiens d'il y a près de 100 ans". Toute façon, l'instrumentation on s'en fout (un peu)
#275 + Partager
Posté 04 nov. 2009 - 08:57
...
Contrairement à ce que je pensais jusqu'à y pas si longtemps, tout ça, ça ne s'oppose pas. C'est juste (euphémisme) ce que nos système nerveux sont capables d'encaisser ou pas.
Pour certains, il y a dès le départ, une image bien établi du résultat à obtenir, avec, je sais pas, des objectifs du style : "devenir un joueur d'uillean pipe honorable". Avec un projet pareil, tu remplis une vie ou deux assez aisément et, à moins que tu sois vraiment très spécial, tu ne compteras pas beaucoup de bourrées à trois temps dans ton répertoire (à moins que tu sois vraiment très très spécial !) En plus, tu passeras ta vie de musicien, assis, le plus souvent à l'intérieur, tu auras très soif, tu risques de boire énormément de Guinness etc. Il faut y penser avant. Dans le même ordre d'idée, si tu veux jouer de la vieille à roue, tu dois aimer passer autant de temps à t'accorder qu'à jouer. De même, que si tu as apprécié les Shadocks, le diato pourra combler tes vides existentiels. Mais là, je m'éloigne du sujet...
Pour les autres, c'est le parcours lui-même qui finira par construire quelques choses. Pas de certitude au départ, pas plus à l'arrivée, mais dans le trajet une suite de questionnements et d'apprentissages, au contact des autres. Là-dedans tu auras aussi bien des choses qui relèveront de traditions diverses et variées, que de trouvailles et de démarches plus contemporaines avec quelques chocs culturels pour agrémenter le tout.
En fait, évidement, on procède tous plus ou moins des deux postures.
Deux attitudes possibles : en conclure "contentons-nous de bien faire ce que l'on sait faire, point barre." ou, "pauffinons ce que l'on sait faire pour le faire de mieux en mieux et, dans le même temps, ne négligeons pas tout ce qui peut enrichir nos pratiques (et incluons ce qu'il semble intéressant, utiles, amusant, pertinent, impertinent d'y inclure). Ce qui est embêtant dans la première attitude, c'est que l'on réifie des choses qui ont été dynamique et variable. Et pour la deuxième attitude, il faut ce faire à l'idée que l'on est dans une démarche artistique (et une idée reçue traditionnaliste est que "nos anciens" étant "d'humbles" paysans, artisans, commerçants, à peine lettré, isolés dans leur cambrousse, durs à la tache, peu éduqués, et subissant le lourd poids de la religion et des conventions, ne pouvaient pas être des artistes créatifs (déjà là, je m'insurge...), et que donc, si l'on veut être dans la tradition, respectons ces limites là car traditionnelles... Personnellement, j'ai du mal à comprendre ce type de raisonnement... On est dans une époque de bouillonnement tous azimuts pour le meilleurs et pour le pire, on aura beau faire des pieds et des mains, on est dans le bouillon et donc bouillonnons !)
...
C'est pour ça que se fiche ou pas de l'instrumentation n'est pas anodin.
#276 + Partager
Posté 04 nov. 2009 - 10:27
Je pense comme Vian que les musiciens qui jouent aujourd'hui du dixieland (pour rester dans son idiome) ne le font que par nostalgie, incompétence créatrice, ou recherche du gain (encore que…).

Je ne connais rien à la cabrette, parisienne ou provinciale, du XX ou du XXIe siècle… mais je tenterai quand même une réponse, au risque de me faire bouffer tout cru par un lion. Je risquerais donc comme hypothèse que les néocabrettaires, à l'instar de ces musiciens baroques qui cherchent à s'approcher au mieux de l'interprétation et de l'instrument d'époque, s'efforcent de ressusciter une musique un petit peu oubliée, parce qu'ils la trouvent belle…
Bingo ! Voilà quelque chose de sensé. Pourquoi la notion de plaisir est-elle si souvent absente dans le trad ? Pourquoi les justifications à deux balles foisonnent dans le trad ("l'Auvergne c'est mes racines, c'est pour ça que je joue cette musique", ou "moi je fais évoluer la tradition" ou "faut vivre avec son temps" ou "les paysans jouaient comme ça alors moi je joue comme eux parce que je suis respectueux de leur musique" et blablabla) alors qu'il est si simple de dire : je joue cette musique parce que ça me plaît !!!
Rien à faire de la nostalgie, on peut aimer des formes musicales du passé ET des formes musicales d'aujourd'hui. Et oui.
Et pour en revenir à l'article, c'est bien dommage que l'auteur décridibilise son propos sur les arrangements en les rattachant au néotrad. Parce qu'autant je n'apprécie pas la façon dont il parle du néotrad, autant je suis plutôt d'accord sur ce qu'il pense des arrangements (même s'il le dit de façon maladroite et qu'il ne développe pas). Pas sûr que les gens qui pensent "néotrad = caca" soient très nombreux, en tout cas il y en aura toujours. Ceci dit c'est vrai qu'il y a du mauvais néotrad (comme il y a du mauvais trad bien sûr). La qualité d'un groupe ne dépend pas de son appartenance à un courant musical !!
Pour la cabrette et son évolution, c'est marrant, y a tout un débat sur Cabrette Forum en ce moment : http://cabretteforum...it.fr/index.php
C'est parti d'un article de Ricros dans Tradmag d'ailleurs. C'est dans la section Comptoir, "l'avenir de la cabrette" (mais il faut avoir un compte pour accéder à cette section du forum).
#277 + Partager
Posté 04 nov. 2009 - 11:36
Je risquerais donc comme hypothèse que les néocabrettaires, à l'instar de ces musiciens baroques qui cherchent à s'approcher au mieux de l'interprétation et de l'instrument d'époque, s'efforcent de ressusciter une musique un petit peu oubliée, parce qu'ils la trouvent belle…
Heureusement qu'il y a des baroqueux (et des cabretaïres) sont aussi musiciens. Et qui, au lieu de chercher à s'approcher de quelque chose, s'expriment avec leurs instruments.
J'ai fait un rêve:
On s'arrêtait de courir après une évolution à n'importe quel prix et on prenait le temps de se cultiver.
#278 + Partager
Posté 04 nov. 2009 - 11:39
Il y a même des fois, on fait cette musique, elle fait partie de notre vie et on ne sait pas justifier pourquoi on la fait... Ou alors avec des banalités que l'interlocuteur veut entrendre?!
Ceci dit, je ne comprend pourquoi tout ce déballage sur le nouveau, re-nouveau, néo, etc.
Je n'ai pas l'impression que le QàC représente LE néo-trad, comme je n'ai pas l'impression que la critique veut dire : "je n'aime pas ce qui évolue ou ce qui est nouveau..."
#279 + Partager
Posté 04 nov. 2009 - 11:41
Et qui, au lieu de chercher à s'approcher de quelque chose, s'expriment avec leurs instruments.
Mais ce n'est pas incompatible... On peut chercher à s'approcher de qqch pour mieux s'exprimer... Pour faire un parallèle, on exprime mieux sa pensée quand on a un vocabulaire élargi !
#280 + Partager
Posté 04 nov. 2009 - 11:50
Mais ce n'est pas incompatible... On peut chercher à s'approcher de qqch pour mieux s'exprimer... Pour faire un parallèle, on exprime mieux sa pensée quand on a un vocabulaire élargi !
Oui j'ai écrit un peu vite, le sang m'était monté à la tête.
Ce qui m'a choqué c'est la limitation présumée de la pratique de ces musiques à une imitation anachronique comme dans l'interprétation - qui me parait discutable - de la critique de Vian par Vl.
L'acquisition du vocabulaire est indispensable, d'accord! Et c'est bien par l'imitation qu'on y arrive mais c'est pas ça la finalité.